Le spectateur est condamné à agir : la consommation d’un spectacle est déjà un acte. Le·a plus indifférent·e des spectateur·ices est condamné·e à interpréter : il se passera toujours quelque chose entre el·lui et la scène. Le·a plus réfractaire des spectateur·ices est condamné·e à contribuer au spectacle : i·el le prolonge dans ses rêveries. Le·a plus consommateur des spectateur·ices est condamné·e à la consomm’action : i·el modifiera le spectacle par sa réaction (écoute, regard, mouvement, interpellation, cri, pleurs, rire).