Considère qu’assez de spectacles ont été produits et que la pratique des arts du spectacle devrait consister, désormais, à retravailler les œuvres du passé pour en tirer une matière, des idées et des agencements nouveaux.
« Quand je lui ai demandé comment il se définissait comme spectateur, il m’a répondu du tac au tac : « recycleur ». Car il aime beaucoup ce qui est remasteurisé, ce qui part de l’ancien. Comme Le Sacre du printemps. Ou Nuit d’ivresse avec Josiane Balasko. Du coup C’est une légende, ça l’intéressait énormément, il était curieux de voir comment on recycle des pans d’histoire de la danse.
UN ANIMATEUR SOCIO-CULTUREL DU VAL d’OISE