Face à ce spectacle terriblement magnifique, est comblé de bonheur. Baigne dans une joie indescriptible. Pas de mot pour dire « ça ». Excepté le superlatif proustien d’épatant.
« (…) Tonnerre de Dieu, ce que j’entends là c’est exaspérant, c’est mal écrit, mais c’est épastrouillant, ce n’est pas l’œuvre de tout le monde. »
PROUST (Marcel), le Temps retrouvé, Pl., t. III, p. 892., La Pléiade, nrf Gallimard, 1980.