Se lèvera à 5 h 55. Petit-déjeunera à 6 h 07. Prendra son train de banlieue à 6 h 39. Ouvrira la porte de son bureau à 7 h 45. Le quittera à 16 h 45. Rentrera à son domicile à 18h00. Et se demandera à quel monde appartient l’artiste, si ce dernier peut dire l’enfermement dans lequel se trouve parfois le spectateur, mais aussi dire l’anodin de son quotidien, qui, parfois, l’aide à rester vivant.